Le mal ou ce qui cloche est beaucoup plus médiatique que le bien.
Cela se comprend mais pose un véritable problème de société : à force d’entendre parler de ce qui ne va pas, on finit par oublier que partout les forces du bien sont à l’œuvre.
Or, ces manifestations de la bonté humaine ont besoin, elles aussi, d’être médiatisées : elles auraient une force d’entraînement considérable, car l’exemple est contagieux.
Abbé Pierre – Fraternité